Le traitement naturel de la fibromyalgie avec Duvamat
La fibromyalgie est une maladie invisible mais ce n'est pas une fausse maladie. Au-delà des crises de douleur souvent insupportables, nombreuses (et nombreux) sont celles et ceux, comme nous, à souffrir de ce manque de reconnaissance. Notre entourage nous perçoit alors comme des personnes sensibles (au sens physique et moral du terme) et qui ont tendance à se plaindre pour rien.
Ce que notre entourage ne comprend pas, c’est que la perception qu’il a de notre personne nous enfonce davantage dans ce mal-être, aussi bien dans notre chaire qui crie à son corps défendant, que dans notre mal-être.
De plus, se voir baladé de médecin en médecin pour s’entendre dire que c’est dans la tête. Puis se faire prescrire des anti-douleurs pendant des années dont les molécules abîment l'organisme (souvent à renfort d'anti-dépresseurs), nous entraine dans une spirale infernale. C'est la dure réalité de la personne fibromyalgique cherchant à savoir de quoi elle souffre.
Alors quand des lectrices fibros nous parlent d’une solution qui permet de se sentir vraiment mieux, nous sommes plus qu’enthousiastes à faire le test ! Vous découvrirez donc notre verdict de fibro sur le Duvamat à la fin de cet article. Autant vous indiquer tout de suite, que toutes ici l’avons adopté!
La première fois : après les questionnements : le lâcher prise!
Nous avons commandé notre Duvamat pour soulager la fibromyalgie sur le site officiel. A l'ouverture de l’emballage le Duvamat peut dérouter, surtout pour nous fibromyalgiques qui souffrons d’hypersensibilité tactile. En effet, il s’agit d’un tapis et d’un coussin couverts de petits picots en forme de pyramides.
Il est conseillé sur le mode d’emploi de porter un tee-shirt lors des premiers essais afin de s’habituer, chose que chacune d'entre nous a fait. Il faut bien reconnaître que les premiers instants ne sont pas très confortables.
Puis dès les premières minutes d’utilisation, le dos se réchauffe naturellement en raison de la stimulation de la circulation sanguine. Cette sensation de lâcher prise physique fait rapidement oublier les petits picotements du départ. On sent clairement les muscles se décontracter et la douleur baisser de façon drastique en intensité (à noter que le Duvamat a été testé lors de crises de douleur particulièrement éprouvantes).
Nous sommes donc trois à avoir fait le test du Duvamat. Voilà ce qu’il s’est passé la première fois :
- L’une d’entre-nous s’est relevée du Duvamat au bout d’une vingtaine de minutes, quelques instants après que les douleurs aient disparu.
- La plus anxieuse a préféré y aller progressivement. Souffrant de névralgies pénibles en plus de ses douleurs de la fibromyalgie, elle a d’abord fait 5 minutes, puis 10 minutes plus tard, pour enfin faire 20 minutes le lendemain. A partir de là, elle a pu s’en servir tous les jours.
- Quant à moi, je me suis allongée sur le tapis et j’ai calé le coussin d’acupression sous mes genoux qui me font régulièrement souffrir. J’ai commencé cette première séance en soirée après une journée stressante. Un peu dubitative au début, je m’y suis complétement endormie tant je me suis relaxée.
En 5 séances, toutes étaient habituées et n’avaient qu’une hâte : s’isoler quelques minutes, ou plus lorsque nous avions cette chance, pour nous détendre chacune sur notre tapis dans un endroit tranquille.
Verdict après 1 mois d’utilisation du Duvamat
Les bienfaits sur les symptômes de la fibromyalgie (douleurs, raideurs, stress, sommeil difficile, etc) sont bien présents dès le début et s’améliorent encore au fil des usages.
Nous avons été toutes été surprises du paradoxe de s’allonger sur une surface piquante malgré notre hypersensibilité associée à la fibro. Et c’est justement cet inconfort du départ qui déclenche ce bien-être. Les douleurs et le stress semblent fondre littéralement.
Si on reste sur le tapis et le coussin entre 30 et 50 minutes, on se laisse gagner par le sommeil. D’ailleurs, comme évoqué plus haut, je me suis assoupie à la première séance tant mon corps était détendu.
Au bout de quelques utilisations, les nuits se font nettement plus réparatrices et l’on se réveille en meilleure forme. Les journées qui suivent sont plus bénéfiques. D’ailleurs, aux dires de notre entourage et de notre propre ressenti, le moral est meilleur et cela se voit ! J’ai d’ailleurs personnellement repris une activité physique en accord avec mon médecin, et profite de chaque instant en famille. Mes enfants me disent : « Maman, tu as changé en mieux ! ». Et cela me fait fondre de bonheur!
Ce qu’en disent nos médecins
Comme il n'est pas autorisé de faire délibérément la promotion de médecins sur un site internet, chose que nous déplorons car de nombreux praticiens s’avèrent d’excellent conseil dans la gestion de la maladie, nous ne pouvons que décrire leurs dires.
Les avis de nos docteurs concernant le Duvamat ont pour points communs ces explications :
- Concrètement, les petits picots incitent la production de nos antidouleurs naturels qui sont sécrétés par le cerveau en réponse à certains stimuli (dont c’est clairement le cas ici). En quelques minutes, on se sent soulagé et si l’on y reste plus de 30 minutes, le corps entier se relaxe physiquement, mais aussi mentalement au point de donner envie de dormir comme nous le faisions enfants délivrées des questions toxiques qui trottent dans la tête avant le coucher. Voilà pourquoi cela est excellent également pour les fibros qui souffrent d'insomnies.
- De plus, le sang circule mieux à l’intérieur des muscles grâce encore une fois aux milliers de petits picots. De ce fait, ils se décontractent en quelques minutes et les toxines qu’ils emprisonnent lorsque leurs fibres sont contractées sont mieux éliminées.
Il n’y aurait donc pas d’effet d’accoutumance, car on sollicite nos propres ressources, malheureusement mises en berne par la maladie.
Nous sommes toutes d’accord (et celles qui nous en ont parlé aussi) pour dire que plus on l’utilise, plus on est soulagée durablement, meilleur est le sommeil et le moral. Un cercle vertueux s’installe. Les crises s’espacent et l’on reprend un quotidien plus normal.
Ps : pour la petite anecdote : je me suis donc endormie sur le tapis la première fois tellement je me suis sentie relax, bien dans mon corps et dans ma tête… (chose que je n’aurais jamais imaginée si je n’avais pas tenté moi-même l’expérience). Alors, comme j’y suis restée trop longtemps, j’ai eu des petites marques qui ont disparues dans l’heure. Rien de bien méchant comparé aux bénéfices.
Pour celles (et ceux) qui y ont pensé sans oser franchir le pas. Je ne peux vous dire que d’y aller ! Vous vous demanderez comment vous avez pu faire sans avant. Ici, nous avons toutes les trois pris l’habitude de nous allonger sur notre Duvamat 5 à 10 minutes le matin, et un peu plus longtemps le soir. Cela est devenu un moment de plaisir et on se sent tellement, mais tellement, mieux après à chaque fois !
Encore mille mercis à celles qui nous ont fait part de cette belle découverte!